Eva Bernard

« Moi, c’est Eva, et s’il y a bien une chose qui me définit, c’est le goût du contact et du voyage. Plus jeune, je rêvais de devenir hôtesse de l’air mais j’ai finalement trouvé ma voie dans l’hôtellerie… en passant par les Canaries, le Pérou, l’Argentine, et même l’Irlande ! »
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Bachelor Parcours Tourism Management (Bac+3)
Eva Bernard - Voyage-passion : hôtesse un jour, hôtellerie toujours !
Tourism Management

Aujourd’hui diplômée du Bachelor Parcours Tourism Management d’Excelia Hotel & Tourism School, je peux dire que ces trois années ont été les plus riches de ma vie jusqu’ici ! Et surtout les plus formatrices. 

J’ai grandi à Carcassonne, une ville magnifique mais où j’avais déjà envie d’ailleurs. J’ai toujours aimé les langues étrangères et les destinations hispaniques, un ancrage sans doute hérité de ma mère espagnole… Mes parents m’ont emmenée vivre en Martinique pendant quelques temps quand j’avais trois ans. Puis au collège et au lycée, je savais que je voulais une vie de voyages.  

Après un bac pro Accueil relation clientèle et usagers, j’étais attirée par les métiers liés au contact client et à l’international. J’ai d’abord pensé à devenir hôtesse de l’air, puis, en découvrant la brochure d’Excelia, tout est devenu clair : cette école cochait toutes les cases. Mon père connaissait La Rochelle, il m’en parlait comme d’une ville paisible, agréable à vivre. Il avait raison. Et la vie étudiante y est top ! 

Un premier pas à Excelia… et déjà les valises prêtes 

Après avoir passé le concours d’entrée à Excelia, j’ai suivi une semaine de remise à niveau en anglais avant la rentrée pour me eva bernard - espagnerenforcer. Puis dès la première année, j’ai enchaîné les expériences. Mon tout premier stage d’un mois s’est déroulé en France, mais c’est surtout la mission Climacité© qui m’a marquée. Avec quatre amies de ma promo, nous sommes parties deux semaines à La Gomera, une île des Canaries, pour aider l’association Aglayma. Celle-ci œuvre pour la protection de l’environnement insulaire en sensibilisant les habitants et les visiteurs aux enjeux du tri, du recyclage et de la préservation des écosystèmes marins et terrestres.  

Ramassage de déchets, sensibilisation dans les rues, collages d’affiches… on prenait cette mission très au sérieux. J’ai été choquée par la quantité de détritus qu’on retrouvait sur les plages et dans les sentiers. En récompense, Hugo, notre responsable local, nous emmenait faire des randos ou voir les dauphins en bateau.
 

Cette mission m’a profondément marquée, parce qu’elle alliait le voyage, l’environnement, l’action… et l’amitié. 

Dublin : le luxe et le climat 

eva bernard - irlandeEn juin, j’ai effectué un stage de trois mois à Dublin dans un hôtel 5 étoiles du groupe Marriott. Partir seule, ça n’était pas un problème pour moi. L’ambiance irlandaise

est très chaleureuse : les gens sont adorables, bien qu’ils mâchent les mots ! J’étais à la réception, et rapidement mes managers ont su me faire confiance et m’ont donné pour mission des tâches de conciergerie. C’était ma première expérience dans un hôtel de luxe, et même si je n’ai pas accroché avec la ville ni avec le climat, j’ai énormément appris. Notamment j’ai encore progressé en anglais avec tous mes collègues internationaux ! 

Pérou : mission Humacité©… et choc culturel 

En deuxième année, j’ai participé à une mission Humacité© au nord du Pérou.
À cette période, le contexte politique était tendu, ce qui a créé une insuffisance de bénévoles.eva bernard - perou
J’ai dû redoubler d’implication au sein de l’association à défaut de pouvoir découvrir davantage le pays.  

Je travaillais pour l’association Hilo Rojo, principalement auprès d’enfants. Ce n’est pas mon domaine de prédilection (je ne suis pas la plus attendrie avec les enfants, je l’avoue !) mais cette immersion a changé mon regard. Aujourd’hui, je les apprécie beaucoup plus, et je garde un excellent souvenir de cette mission.
 

J’ai fait le choix du Pérou pour perfectionner mon espagnol et me rapprocher du pays de mon semestre d’échange universitaire. Après le volontariat, j’ai retrouvé mes parents au Mexique pour quelques jours de vacances, avant de m’envoler pour… l’Argentine ! 

L’Argentine , mon coup de cœur 

eva bernard - argentineJ’ai choisi Buenos Aires pour mon échange universitaire, malgré l’avis de mon père qui aurait préféré que je parte dans un pays anglophone. Mais pour moi, c’était l’occasion de renforcer mes bases en espagnol et de découvrir l’Amérique du Sud qui m’attirait énormément. 

J’étais la première étudiante Excelia à intégrer la UADE, une université privée partenaire. Une expérience incroyable ! Tout est fait pour qu’on s’y sente bien et qu’on ait envie d’y rester. Les cours étaient à l’ancienne : peu d’ordinateurs, beaucoup d’écriture à la main, et ça m’a plu : je retiens mieux en écrivant. À mon retour en France, j’étais la seule de ma promo avec un cahier ! Les profs argentins étaient très accessibles – j’ai envie de dire « amigables », vous voyez l’idée ? – l’ambiance géniale, et j’ai adoré la ville. Je vivais à une rue de l’école, en plein centre : beaucoup de manifs, beaucoup de cafés, une vie urbaine intense ! 

Et puis il y a le maté : cette herbe qu’on infuse et qu’on boit avec une paille filtrante, en famille ou entre amis. Il y a des buses d’eau chaude partout ! Je n’adore pas le goût, mais j’adore le rituel. C’est devenu un moment de partage. Et la musique… le reggaeton fait partie de ma vie désormais. C’est mon réveil du matin, ma dose d’énergie quotidienne. En plus, maintenant je comprends les paroles ! 
 

L’Argentine m’a transformée. J’ai gagné vingt ans de maturité, appris à m’orienter dans un environnement inconnu, à gérer mes démarches, à m’adapter. Oui, bien sûr, il y a de l’insécurité, de la criminalité, mais je m’y sentais plus en sécurité que dans mon propre pays et je savais où sortir seule.

 

Alternance et retour aux sources 

En troisième année, j’ai fait mon alternance à Carcassonne, dans un restaurant étoilé Michelin avec hôtel. J’étais assistante de direction, entre la réception, la salle et l’administratif. Un environnement strict, parfois tendu, mais hyper formateur. J’ai réalisé que je détestais rester assise derrière un écran : il me faut du contact, du mouvement, du lien avec les clients. C’est là que je suis le mieux. En réception, je me sens utile. 

L’aventure ne fait que commencer… 

eva bernard Diplôme en poche, je suis repartie en Argentine pour chercher du travail. Je me voyais y faire ma vie. Mais sans visa travail, c’est une autre histoire… J’ai appris que l’expatriation, c’est génial… mais que ce n’est pas toujours simple. Les salaires sont bas, et le coût de la vie élevé. Après sept mois de démarches compliquées et de budget serré, je suis rentrée.  

Aujourd’hui, j’ai différentes pistes pour partir en Australie travailler dans l’événementiel d’un casino, ou pour faire une saison au Club Med en Guadeloupe. Une chose est sûre : je me vois vivre hors de l’Hexagone. J’aime la France, mais je sens que je peux m’épanouir davantage ailleurs. L’événementiel m’attire aussi : les événements sportifs, les activités de loisirs… tout ce qui crée du lien et des beaux souvenirs. 

Un retour d’expérience sur Excelia Hotel & Tourism School pour les futurs étudiants 

Excelia Hotel & Tourism School m’a offert bien plus qu’un diplôme : elle m’a donné des amitiés fortes, des occasions de vivre des expériences uniques et de mieux me connaître. Si vous aimez voyager, rencontrer de nouvelles personnes, si vous avez envie de découvrir le monde tout en construisant votre avenir dans le tourisme ou l’hôtellerie… foncez ! Selon moi, il n’y a pas de meilleur terrain d’apprentissage qu’en situation de travail, dans le réel.
 

En ce sens, Excelia Hotel & Tourism School est une école qui vous pousse à exceller. 

Autres témoignages

  • « Quadrilingue, globe-trotteuse et passionnée par l’accueil, Anastasia incarne cette nouvelle génération d’étudiants cosmopolites, à la fois ancrés dans des traditions et tournés vers le monde. Formée à Excelia, elle partage dans Les Étincelles, le podcast d’Excelia, son parcours singulier, de Moscou à Saint-Émilion, entre hôtellerie de prestige, oenotourisme et mission solidaire. »
  • « Moi, c’est Eva, et s’il y a bien une chose qui me définit, c’est le goût du contact et du voyage. Plus jeune, je rêvais de devenir hôtesse de l’air mais j’ai finalement trouvé ma voie dans l’hôtellerie… en passant par les Canaries, le Pérou, l’Argentine, et même l’Irlande ! »
  • « Découvrez le témoignage inspirant de Bixente Dulau, étudiant passionné en Hôtellerie de luxe à Excelia »